Accueil    IPZ-779 Être « forcé d’avouer » parce que c'est si beau

Juste parce qu'il était pris dans le cycle du travail, Kirishima a payé un prix très élevé : son propre corps. Déterminé à ne pas révéler ses complices, Kirishima a été torturé et contraint chaque jour au moins deux fois par jour, mais surtout dans la mesure où la police n'a pas utilisé les mesures professionnelles normales pour forcer Kirishima à avouer, ces salauds ont contrôlé la jeune fille pour la violer. Les prisonnières étaient souvent contrôlées par des hommes grands et musclés dans le camp pour... les baiser. Même si Kirishima criait et résistait, ils refusaient toujours de lâcher prise et « torturaient » Kirishima pour qu'il révèle ses complices jusqu'à ce qu'il le puisse. La jeune fille va-t-elle continuer à souffrir ou à se libérer ? S'il vous plaît, tout le monde regarde le film ensemble.